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Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/141

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Se ferment. Nous, chargés de ses ordres célestes,
Dans Argos, à sa sœur, nous apportons ses restes.
J’en fais entre vos mains le dépôt solennel ;
Mais séchez de ces pleurs l’hommage fraternel :
Il périt en triomphe, et l’Élide éplorée
Porte encore le deuil du petit-fils d’Atrée.