Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/511

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Qu’aucun frimai n’offense, aucun soleil n’altère ?
Graine du ciel, tombée au sol mort de la terre,
Dis-moi son nom, dis-moi son pays ignoré :
J’irai te la cueillir, je te l’apporterai ;
El tous deux à la fois, brûlés des mêmes flammes,
Puissions-nous, dans ton sem, exhaler nos deux âmes !