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Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/546

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LES HEURES D’AGONIE.

FRAGMENTS.

I.
O my heard fate ! Why did i trust « ver !
N. Lee.
Mon Dieu, qu’on a de peine à croire à son malheu
Elle existe pourtant, cette infâme douleur,
Dont mon effroi jaloux devançait la menace :
Elle est là, qui me tient dans son étau de glace.
Je sens qu’un vide affreux se forme autour de moi
C’est une illusion, qui me manque de foi,
Une femme qui part, qui s’en va de ma vie !
Il n’est pas d’amitié, qu’elle ne m’ait ravie,
Voulant, me disait-elle, être tout dans mes jours :
Et moi, j’ai tout quitté, pour la suivre toujours