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Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/555

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Comme un attrait de p’us, affectant 1
Vous vous croyez du ciel, en dédair
Et vous donnez l’amour et les I ?
Comme le prospectus de votre
Vous pouvez retrancher mo
De nos liens rompus le sr
Je regrette des temps,
Mais l’amour n’est po
Vous n’avez point
Je m’éveille, à v
Si, vers le gre
A.
J appris a vr
Si j’ai, pc

F OUrni’DifficiIe est longum subito deponere amorem.
Je ne Tirulle.
Qup

femme, je crois, m’a, comme un ciel moqueur
rjiîié ses regards et ses traits dans le cœur.
(Sérable affranchi, tout pétri d’esclavage,
je roule dans mon sang le poison du veuvage.
je n’ai qu’à verser l’un, et l’autre va tarir :
jtfais on en jouirait, j’aime encor mieux souffrir.
Et puis, qui sait ? noire âme est peut-être immortelle
Si j’allais, dans la mort, revivre encor pour Elle !
Lâche et fou que je suis ! ce n’est pas là l’effroi,
Qui m’attelle aux tourments, que je tire après moi
Je crois trop que la tombe est le terme de l’être,
Kt que l’homme qui meurt n’achève pas de naître.