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Page:Lefebvre - Jean Rhobin, 1946.djvu/88

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JEAN RHOBIN

La violoniste avait emporté dans la tombe son illusion, son bel amour sans ombres. Mieux valait ainsi pour tout le monde. À la longue, son existence près de l’homme terre à terre que devenait Jean Rhobin eût été aussi terne que sa vie renfermée dans le patelin natal, loin de ces salles de concert dont elle avait ingénument rêvé.