Page:Leibniz - La Monadologie, éd. Nolen, 1881.djvu/254

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
II. — Les petites perceptions ou les reprétentations inconscientes. 
 51
III. — Les diverses espèces de la perception. 
 57
IV. — La perception de l’univers est commune à toutes les monades. — Objection d’Arnaud. — Réplique de Leibniz. 
 58
V. — La perception ne diffère d’une monade à l’autre que par le degré de clarté ou de confusion. 
 60
VI. — Le corps est le point de vue sous lequel la monade perfoit l’univers et mesure la clarté de su perfection. 
 61
VII. — Le corps, en tant que perception confuse, résultant de l’imperfeclion de la connaissance sensible. 
 62
VIII. — Les sens convaincus d’erreur par la science et la philosophie. 
 64
IX. — Le monde des corps, produit de l’imagination selon Leibniz et Fichte. 
 66
X. — La monadologie ne reconnaît au corps d’autres vérités que celle d’un phénomène bien réglé. 
 67
XI. — Vérité de l’étendue et du mouvement. 
 68
XII. — Activité de la monade, incessante, spontanée. 
 69
XIII. — Dans quel sens la monade est-elle passive ? 
 70
XIV. — La vis actua primitiva et la vis passiva primitiva ; distinction de la matière première et de la matière seconde. 
 71
Septième Éclaircissement. — La durée des Monades
 73
I. — La durée des monades égale celle du monde ; pas plus que lui, elles n’ont commencé ni ne finiront dans le temps. 
 73
II. — Objections de Clarke et d’Arnaud ; réplique de Leibniz. 
 75
III. — L’indestructibilité étendue à toutes les monades sans exceptions. 
 77
IV. — L’indestructibilité prouvée par les expériences. 
 79
V. — Ni métempsychose, ni traductio, ni eductio
 80
VI. — Indestructibilité de l’individu tout entier, corps et âme. 
 81
VII. — Que sont lu naissance et la mort des êtres sensible. 
 81
VIII. — Génération des esprits. 
 84
IX. — L’immortalité des esprits distincte de l’indestructibilité des autres substances. 
 86
X. — L’hypothèse de Leibniz et la science d’aujourd’hui. 
 87
Huitième Éclaircissement. — La communication des substances. — L’harmonie préétablie
 89