Livre:Leibniz - La Monadologie, éd. Nolen, 1881.djvu

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TitreLa Monadologie
AuteurGottfried Wilhelm Leibniz Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurD. Nolen
Maison d’éditionGermer Baillière et Cie (Bibliothèque classique d’ouvrages philosophiques)
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1881 (nouvelle éd.)
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Table des matières

Avant-propos
 1
Notice historique sur la vie et les œuvres de leibniz
 5
Éclaircissements sur les principales théories de la monadologie
 17
Premier Éclaircissement. — La pensée métaphysique
 17
Deuxième Éclaircissement. — La raison philosophique en face du monde de la sensation et de la science
 21
I. — L’ancienne métaphysique avec Platon et Aristote. 
 21
II. — La philosophie moderne avec Descartes. 
 25
Troisième Éclaircissement. — La substance
 29
I. — La théorie cartésienne de la substance, Spinoza, Gassendi et Locke triomphent des erreurs qu’elle renferme. 
 29
II. — Les critiques de Locke contre la notion de substance. Leibniz les réfute. 
 32
Quatrième Éclaircissement. — Les principes de la raison métaphysique
 34
I. — Le principe de l’analogie. 
 35
II. — Principe de la raison suffisante. 
 39
III. — Le principe de la contradiction. 
 41
Cinquième Éclaircissement. — Les Monades sont des unités et des forces vivantes
 46
I. — Les unités véritables et les unités apparentes. 
 46
II. — Les monades et la science au temps de Leibniz. 
 48
Sixième Éclaircissement. — La perception et l’activité des monades
 53
I. — La monade n’est qu’une force perceptive 
 53
II. — Les petites perceptions ou les reprétentations inconscientes. 
 51
III. — Les diverses espèces de la perception. 
 57
IV. — La perception de l’univers est commune à toutes les monades. — Objection d’Arnaud. — Réplique de Leibniz. 
 58
V. — La perception ne diffère d’une monade à l’autre que par le degré de clarté ou de confusion. 
 60
VI. — Le corps est le point de vue sous lequel la monade perfoit l’univers et mesure la clarté de su perfection. 
 61
VII. — Le corps, en tant que perception confuse, résultant de l’imperfeclion de la connaissance sensible. 
 62
VIII. — Les sens convaincus d’erreur par la science et la philosophie. 
 64
IX. — Le monde des corps, produit de l’imagination selon Leibniz et Fichte. 
 66
X. — La monadologie ne reconnaît au corps d’autres vérités que celle d’un phénomène bien réglé. 
 67
XI. — Vérité de l’étendue et du mouvement. 
 68
XII. — Activité de la monade, incessante, spontanée. 
 69
XIII. — Dans quel sens la monade est-elle passive ? 
 70
XIV. — La vis actua primitiva et la vis passiva primitiva ; distinction de la matière première et de la matière seconde. 
 71
Septième Éclaircissement. — La durée des Monades
 73
I. — La durée des monades égale celle du monde ; pas plus que lui, elles n’ont commencé ni ne finiront dans le temps. 
 73
II. — Objections de Clarke et d’Arnaud ; réplique de Leibniz. 
 75
III. — L’indestructibilité étendue à toutes les monades sans exceptions. 
 77
IV. — L’indestructibilité prouvée par les expériences. 
 79
V. — Ni métempsychose, ni traductio, ni eductio
 80
VI. — Indestructibilité de l’individu tout entier, corps et âme. 
 81
VII. — Que sont lu naissance et la mort des êtres sensible. 
 81
VIII. — Génération des esprits. 
 84
IX. — L’immortalité des esprits distincte de l’indestructibilité des autres substances. 
 86
X. — L’hypothèse de Leibniz et la science d’aujourd’hui. 
 87
Huitième Éclaircissement. — La communication des substances. — L’harmonie préétablie
 89
I. — Le problème de la communication des substances chez les cartésiens. 
 89
II. — L’occasionnalisme rejeté par Leibniz. 
 91
III. — Explications provisoires de l’harmonie ; la comparaison des deux horloges. 
 92
IV. — L’action d’un corps sur un autre aussi obscure que celle de l’âme sur le corps. 
 94
V. — Aucune analogie sensible n’explique l’action d’une monade sur l’autre. 
 95
VI. — Les relations des monades sont d’ordre purement métaphysique. 
 96
VII. — Les perceptions des monades se correspondent, parce qu’elles représentent le même univers. 
 97
VIII. — Les monades comparées à des bandes de musiciens. 
 97
IX. — Première objection : Le monde serait le même s’il n’y avait qu’une seule monade. 
 98
X. — Deuxième objection faite par Arnaud. Réponse. 
 98
XI. — Sens vrai de la doctrine leibnizienne. 
 101
XII. — Comment la monade, sans sortir d’elle même, connaît l’existence des autres monades. 
 103
XIII. Comment l’action et la passion se répartissent entre les monades. 
 104
XIV. — L’action et la passion dans le monde des phénomènes. 
 105
XV. — Distinction de la causalité métaphysique et de la causalité physique. 
 107
XVI. — Vérité et rôle des causes efficientes. 
 108
XVII. — Vérité et rôle des causes finales. 
 108
Neuvième Éclaircissement. Le Déterminisme et la liberté de la volonté
 112
I. — Le problème de la liberté chez les cartésiens. 
 113
II. — Leibniz rejette la théorie de Descartes. 
 114
III. — Il réfute la liberté d’indifférence. 
 115
IV. — Le fatalisme de Spinoza. 
 116
V. — La volonté, forme supérieure de l’appétit ; et la liberté, degré supérieur de la volonté. 
 117
VI. — Le déterminisme du vouloir et la tendance essentielle de la volonté vers le plus grand bien. 
 118
VII. — Causes des erreurs de la volonté : moyen d’y remédier. 
 120
VIII. — Le déterminisme de la volonté respecte les trois caractères essentiels des actes libres. 
 123
IX. — Le déterminisme, matérialiste et spinoziste. 
 124
X. — La liberté s’accorde avec prescience et la toute-puissance de Dieu. 
 136
XI. — Le songe de Théodose. 
 138
XII. — La vraie notion de la liberté manque à Leibniz. 
 131
Dixième Éclaircissement. — Dieu et le monde des possibles, la théorie de Leibniz
 133
I. — Critique des arguments cartésien en faveur de l’existence de Dieu. 
 134
II. — La preuve de l’ordre et de la beauté du monde. 
 135
III. — Le système de l’harmonie préétablie fournit une nouvelle et décisive démonstration. 
 136
IV. — Dieu prouvé par les vérités éternelles. 
 137
V. — Méthode pour s’élever aux attributs de Dieu. 
 137
VI. — La Création. 
 138
VII. — Le monde des possibles et le choix divin. 
 139
VIII. — Objections d’Arnaud contre la théorie des possibles. 
 140
IX. — Objections de Bayle. 
 144
X. — Sens et but de la théorie des possibles. 
 144
XI. — Elle écarte de la volonté divine la responsabilité du mal. 
 145
XII. — Dieu a créé le monde par bonté. 
 147
XIII. — La Providence. 
 148
XIV. — La création continue. 
 149
Onzième Éclaircissement. — L’optimisme
 151
I. — L’optimisme prouvé à priori. 
 151
II. — L’optimisme défendu contre Bayle. 
 152
III. — Le mal n’est qu’un défaut d’être, un moindre bien. 
 153
IV. — Le mal condition du bien : le mal métaphysique. 
 154
V. — Le mal physique. 
 158
VI. — Le mal moral. 
 157
VII. — La quantité du mal dans le monde. 
 158
VIII. — La beauté de la création dans l’immensité de l’étendue et de la durée. 
 161
Douzième Éclaircissement. — Théorie de la connaissance
 164
I. — Le problème de la connaissance chez les cartésiens. 
 164
II. — La possibilité, mesure du vrai pour Leibniz. 
 161
III. — La science parfaite des possibles n’est qu’en Dieu. 
 167
IV. — Les vérités éternelles et les vérités contingentes. 
 167
V. — Les vérités de raison sont tirées de notre propre fonds. 
 168
VI. — Les vérités de fait ou d’expérience. 
 171
VII. — L’innéité des faits chez Descartes et chez Leibniz. 
 173
VIII. — Leibniz et le sensualisme de Locke. 
 175
IX. — Leibniz et la vision en Dieu de Malebranche. 
 176
Notice sur la monadologie
 177
Historique. 
 177
Analyse. 
 180
Sujets de dissertation
 237