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I. — Le problème de la communication des substances chez les cartésiens.
II. — L’occasionnalisme rejeté par Leibniz.
III. — Explications provisoires de l’harmonie ; la comparaison des deux horloges.
IV. — L’action d’un corps sur un autre aussi obscure que celle de l’âme sur le corps.
V. — Aucune analogie sensible n’explique l’action d’une monade sur l’autre.
VI. — Les relations des monades sont d’ordre purement métaphysique.
VII. — Les perceptions des monades se correspondent, parce qu’elles représentent le même univers.
VIII. — Les monades comparées à des bandes de musiciens.
IX. — Première objection : Le monde serait le même s’il n’y avait qu’une seule monade.
X. — Deuxième objection faite par Arnaud. Réponse.
XI. — Sens vrai de la doctrine leibnizienne.
XII. — Comment la monade, sans sortir d’elle même, connaît l’existence des autres monades.
XIII. Comment l’action et la passion se répartissent entre les monades.
XIV. — L’action et la passion dans le monde des phénomènes.
XV. — Distinction de la causalité métaphysique et de la causalité physique.
XVI. — Vérité et rôle des causes efficientes.
XVII. — Vérité et rôle des causes finales.
Neuvième Éclaircissement. Le Déterminisme et la liberté de la volonté.
I. — Le problème de la liberté chez les cartésiens.
II. — Leibniz rejette la théorie de Descartes.
III. — Il réfute la liberté d’indifférence.
IV. — Le fatalisme de Spinoza.
V. — La volonté, forme supérieure de l’appétit ; et la liberté, degré supérieur de la volonté.
VI. — Le déterminisme du vouloir et la tendance essentielle de la volonté vers le plus grand bien.
VII. — Causes des erreurs de la volonté : moyen d’y remédier.
VIII. — Le déterminisme de la volonté respecte les trois caractères essentiels des actes libres.
IX. — Le déterminisme, matérialiste et spinoziste.