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X. — La liberté s’accorde avec prescience et la toute-puissance de Dieu.
XI. — Le songe de Théodose.
XII. — La vraie notion de la liberté manque à Leibniz.
Dixième Éclaircissement. — Dieu et le monde des possibles, la théorie de Leibniz.
I. — Critique des arguments cartésien en faveur de l’existence de Dieu.
II. — La preuve de l’ordre et de la beauté du monde.
III. — Le système de l’harmonie préétablie fournit une nouvelle et décisive démonstration.
IV. — Dieu prouvé par les vérités éternelles.
V. — Méthode pour s’élever aux attributs de Dieu.
VI. — La Création.
VII. — Le monde des possibles et le choix divin.
VIII. — Objections d’Arnaud contre la théorie des possibles.
IX. — Objections de Bayle.
X. — Sens et but de la théorie des possibles.
XI. — Elle écarte de la volonté divine la responsabilité du mal.
XII. — Dieu a créé le monde par bonté.
XIII. — La Providence.
XIV. — La création continue.
Onzième Éclaircissement. — L’optimisme.
I. — L’optimisme prouvé à priori.
II. — L’optimisme défendu contre Bayle.
III. — Le mal n’est qu’un défaut d’être, un moindre bien.
IV. — Le mal condition du bien : le mal métaphysique.
V. — Le mal physique.
VI. — Le mal moral.
VII. — La quantité du mal dans le monde.
VIII. — La beauté de la création dans l’immensité de l’étendue et de la durée.
Douzième Éclaircissement. — Théorie de la connaissance.
I. — Le problème de la connaissance chez les cartésiens.
II. — La possibilité, mesure du vrai pour Leibniz.
III. — La science parfaite des possibles n’est qu’en Dieu.
IV. — Les vérités éternelles et les vérités contingentes.