Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/243

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,\tI.\tEtlSTRSOsS.\tPAill cun de vous comme un peteenvers lès enfrns j vous exhortant, vous confoJant, iz & vous conjurant de vous confoiire d’une maniéré digne dcDiea, qaivDusa appeliez à fon royaume & à fr gloire. IJ C’estpourquoy auflÿ nous rendons â Dieu de continndles afÜons de gtaces, de ce qu’ayant entendu la parole de Dieu que nous vons ptefr chions, vousl’avez receiie, non comme la parole des hommes, mais comme estant, ainfy qu’elle l’cft véritablement la parole de Dieu, qui agit efficacement en vous qui estes fi- delies. 14 Car, mes freres, vous estes devenus les imitateurs des Eglifês de Dieu, qui ont embralTé la foy de T esusChrist dans la Judée, ayant fouifert les mêmes perfccutions de la parc de vos concitoyens, qiK ces Eglilès ont fouffcr- tes de la part des Juifr, I y qui ont tué même le Seigneur j 1 s u s, & loirs prophetes ; qui nons ont perfecutez ; qui ne {dailènt point à Dieu ; & qoi Ibnt ennemis de tous les hommes : 16 qui nous empelchent d’annoncer aux Gentils la parole qui les doit fruver, pour combler ainlÿ ht melîire de leurs péchez. Car la colere [ V- de Dieu ] est tombée sur eux prier let aecabler jusqu’à la lin 3. 1 17 aussy, mes frètes, ayant esté pour un peu de temps lèparé de vous de corps, non de coeur. 5 rx. cela {i pntt mtm- dri ou de U ruine dt Jtrupt- tem qui estoitpreche ; ou, det Juifirepreuvex, & aianden- nex, de Dieu peur jumteu, ou, deU nutien Jttiuiqtte quifir* utundennée jujqu’ù ta fin du mmdt auquel temps ilsfe convertiront. «