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Page:Leroux - La Machine à assassiner.djvu/84

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GASTON LEROUX

Le vieux Norbert comprit. Tous deux s’enfoncèrent à nouveau sous bois et redescendirent le coteau au bas duquel se dressait le pavillon funèbre, clos comme une tombe, au bord de l’étang, la demeure désormais célèbre dans les annales du crime, le repaire que les plus curieux n’osaient regarder que de loin, où le satyre de Corbillères-les-Eaux brûlait ses victimes, après en avoir fait des morceaux dans sa cave… Un suprême espoir et une suprême terreur hâtaient leurs pas…