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Page:Leroux - La Poupée sanglante, 1924.djvu/238

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LA POUPÉE SANGLANTE

Et ma pauvre maîtresse dormira en paix, tout entière, comme une honnête chrétienne, dans son tombeau, foi de Drouine !…

— Vous êtes un brave homme, mon ami !

— Oui, mademoiselle !… Mais vous m’avez bien fait peur !… j’ai cru un moment que vous étiez venue, vous aussi, pour tuer la nouvelle « empouse »…

— Allons prier pour elle, Drouine !…