pour d’Aulnay, ni même pour Martin Latouche, dont la réception avait pourtant suscité la plus extrême curiosité.
— Ah ! oui ! fit M. Lalouette, qui parut aussitôt assez embarrassé, M. Loustalot sera là !…
— Il a pris la peine de me l’écrire.
— C’est très gentil, cela…
— Qu’est-ce que vous avez, mon cher Lalouette ? vous semblez ennuyé…
— Eh bien, oui, c’est vrai !… reconnut M. Lalouette… Oh ! ce n’est sans doute pas bien grave… mais je ne me suis pas bien conduit avec le grand Loustalot…
— Comment cela ?…
— Dans le temps, je suis allé, bien avant de poser ma candidature… je suis allé chez lui pour demander ce qu’il fallait croire des secrets de Toth et de toutes les balançoires ayant rapport à la mort de Martin Latouche. Très catégoriquement, il s’est moqué de moi et l’opinion de ce grand savant, bien qu’elle eût été exprimée en des termes d’une vulgarité qui me choqua, fut pour beaucoup dans ma résolution de me présenter à l’Académie.
— Eh bien, mais ! je ne vois pas là de quoi vous mettre martel en tête…
— Attendez, mon cher secrétaire perpétuel,