Page:Leroux - Le Fauteuil hanté, Lafitte, 1900.djvu/319

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Makoko et Mathis écoutent le vieil homme « à en perdre la respiration ». Allan et moi l’examinons comme des bons élèves de la Faculté de Paris doivent considérer un « cas curieux ».

— Oui, fait-il… oui, vous saurez tout… cela pourra vous servir. Et « le cas curieux » se lève, marche, marche, s’arrête en face de nous, nous fixe de son regard éteint à nouveau, de son regard qui est retourné, après la brusque sortie de tout à l’heure, se réfugier au fond de ses deux trous, asile de cette âme tourmentée.