Page:Leroux - Le fils de trois pères, Baudinière, 1926.djvu/59

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— Parce que Titin a toujours fait ce que j’ai voulu !…

— C’est bon ! En voilà assez sur ce sujet ! J’espère que vous ne vous êtes plus revus depuis que je te l’ai défendu ?…

— Non, le pauvre garçon n’a plus rien tenté pour m’approcher depuis que vous lui avez signifié son congé…

— Eh bien ! restons-en là !…

— Comme vous voudrez !… Restons-en là !… Mais ne vous plaignez pas, parrain, si Hardigras finit par vider votre boutique !…