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Page:Leroy-Beaulieu, L art de placer sa fortune, 1906.djvu/339

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TABLE DES MATIÈRES

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PREMIÈRE PARTIE
LES PLACEMENTS


LIVRE PREMIER
LES PLACEMENTS ANCIENS



LES PLACEMENTS EN TERRES.
Grande faveur dont jouissaient autrefois les placements en terres. — Comment cette faveur était justifiée jusque vers 1875 ou 1880, point de départ de la grande crise agricole récente. — Les causes multiples, économiques et sociales, de cette crise. — Les déductions à faire subir au revenu brut d'une terre pour en avoir le revenu vraiment net, — Nécessité, dans le cas d'achat d'une terre, d'amortir, en une période de vingt ans au plus, les frais d'achat. — Les placements en terres ne peuvent plus convenir à la généralité des personnes riches ou aisées. — Ils peuvent être encore recherchés par les habitants aisés des campagnes ou des villes de province dans un rayon modérément étendu de celles-ci. — Un avantage appréciable des placements en terres : ils ne sont pas sujets aux conversions. — L'avenir des terres comme placement 
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LES PLACEMENTS EN MAISONS.


Grande faveur dont jouissaient naguère, parmi la bourgeoisie opulente ou aisée, les placements en maisons dans les villes,