Page:Les Merveilleux Voyages de Marco Polo, éd. Turpaud, 1920.djvu/182

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les rochers jetés par les machines dans la ville écrasaient les maisons et tuaient les habitants. Ceux-ci n’avaient point idée de pareille aventure. Saisis d’épouvante, ils se voyaient déjà tous morts, écrasés par ces pierres, et croyaient qu’ils étaient victimes de quelque enchantement.

Ils tinrent conseil et décidèrent de se rendre. Ils envoyèrent des députés auprès du chef de l’armée tartare, déclarant leur volonté de se soumettre au grand Khan. Leur soumission fut acceptée.