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Page:Les Travaux d’Hercule, ou la rocambole de la fouterie, 1801.djvu/90

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pour voir des monstres qui sont l’opprobre de la nature et les victimes du libertinage.

C’est ainsi que l’on rend l’hommage, dans ce réceptacle de vices, à des dieux tutélaires et bienfaisans ! Mais écartons toute idée de religion, dans un ouvrage qui ne respire que la licence, et contentons-nous, en passant, de donner quelques notions sur les vices habituels de ces créatures hypocrites, qui affectent, par des dehors apprêtés, l’air de la candeur et de la modestie, qui devroit distinguer les hommes, d’un état qui fait tant d’honneur à celui qui l’exerce dignement.

Par un des statuts de l’ordre, ces messieurs ont juré d’observer le plus scrupuleux célibat, en se contentant toutefois, pour adoucir les rigueurs de