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Page:Les Travaux d’Hercule, ou la rocambole de la fouterie, 1801.djvu/91

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la règle, de chacun trois ou quatre dondons, pleines de suc et d’embonpoint, pour l’usage quotidien, sous le nom spécieux de cuisinière, ou d’ouvrières en linge.

Les demoiselles ou putains, comme vous voudrez les nommer, après quelques années d’un service fatiguant, ne manquent pas d’user, sur ces êtres méprisables, d’un pouvoir illimité : elles s’emparent de la conduite de la maison, de leur ci-devant maître, régissent leurs revenus, règlent la dépense sur leurs plaisirs, et, comme vous devez bien le penser, se procurent toutes les jouissances de la vie ; elles ont aussi de leur côté, outre les amoureux externes, un valet affidé, qui coopère avec son maître à leur entière satisfaction, pendant que celui-ci est en ville à faire