Page:Livre de prières, 1852.djvu/198

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À LA VIERGE.


Vous qui avez conçu le Christ Sauveur d’une manière incompréhensible, ô Marie, pleine de grâces et très-pure, je vous supplie, malgré toutes mes souillures, votre serviteur qui me prépare à recevoir le très-pur Sacrement, daignez me purifier de toutes les souillures de l’esprit et de la chair.


CHANT HUITIÈME.


Que toute créature chante le Dieu qui descendit dans la fournaise ardente, où avaient été jetés les jeunes Hébreux, et qui changea la flamme en une rosée ; chantez-le comme votre Maître souverain, et glorifiez-le dans tous les siècles.

Daignez m’admettre aujourd’hui, ô Christ, à votre Cène mystérieuse et sainte, à vos redoutables Mystères ; faites que je n’en sois pas indigne,