Page:Lockroy - Lettres sur la marine française, paru dans Le Temps, 25 août 1903.djvu/7

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à sa plus simple expression : si simple, que, faute de personnel, elle n’a pas pu envoyer au Maroc les bateaux que notre politique extérieure commandât qu’on y envoyât. On a brisé la force de notre escadre du Nord en accouplant à de gros cuirassés de tout petits cuirassés qui devraient être à Bizerte. À Brest, pour cette fameuse guerre commerciale dont, à la tribune, on fait tant de bruit, on n’a réuni que quatre croiseurs assez dissemblables, car, pour rien au monde, on ne voudrait d’une division qui