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Page:London - Le Cabaret de la dernière chance, 1974.djvu/110

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compliments d’usage échangés, on accepte ma société. On me présente l’alcool, adroitement baptisé, et bientôt me voilà pris dans l’orgie ; les lubies se réveillent dans mon cerveau, et John Barleycorn me chuchote que la vie est superbe, que nous sommes tous des braves, des types supérieurs, des esprits libres qui s’étalent au soleil comme des dieux insouciants, prêts à envoyer au diable le monde où deux et deux font quatre, et où les choses sont dosées en vue de leur usage.