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17 Novembre 1907.


Mon cher Poète,

Certes j’accepte votre dédicace et je vous en remercie cordialement. Et j’aurais voulu écrire ces quelques lignes de préface promises, et promises de grand cœur, mais mon état de santé, mauvais depuis plusieurs mois, m’oblige même à dicter ce mot. Ceci dit pour que vous me pardonniez de manquer à ma promesse.

Je vous serre la main en toute sympathie.

François COPPÉE,
De l’Académie Française.