Page:Londres - L’Âme qui vibre, 1908.djvu/16

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les corolles. J’ai fait de même ; et, c’est après une longue école buissonnière que, sagement, je viens m’asseoir au banc des anciens.

Mon livre se fût, sans doute, fort bien passé de ces fleurs sauvages, mais que l’on me nomme un jardin, si bien tenu qu’il soit, qui n’ait son herbe folle ?

Albert LONDRES.