Livre:Londres - L’Âme qui vibre, 1908.djvu

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TitreL’Âme qui vibre
AuteurAlbert Londres Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionE. Sansot et Cie
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1908
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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TABLE DES MATIÈRES


MADAME

IIIPuisque vous m’avez fait le plaisir d’être belle 
 36

IIIQuoique sachant n’avoir pas grand’chose à vous dire 
 37
IIIMais vous causer d’amour, pardieu ! ma belle dame 
 38

EN ERRANT

IIITiens ! le petit jardin qui monte 
 64
IIIOh ! mais la lune fuit, s’efface 
 75
IIIAmis, pardonnez-moi si je vous laisse en route 
 77

COUPS DE CRAYON

PRIÈRE

IFaites, Nazaréen, que brève et sans danger 
 99
IINazaréen ! Nazaréen ! Écoutez-moi 
 100
IIIIl va falloir le mettre aux Enfants-Assistés 
 101
IVMais toi ! mon doux agneau qui vivras parmi ceux 
 102
VDonnez à mes amis, les lépreux d’aujourd’hui 
 103
VIPourtant on vous dit sans vertus. Eh ! le sait-on ? 
 104
VIIOh ! soyez bons ! Oh ! soyez bons ! Oh ! désormais 
 105

VIIIJ’ai parlé de Bonté parce qu’elle est pour moi 
 106

VERS LE REGRET

Oh ! moi qui n’étais pas un faiseur d’élégie 
 109
Prologue 
 110
ITon corps est enroulé dans le drap de lin blanc 
 112
IITa voix, ta bonne et douce et pauvre voix me vient 
 114
IIIJ’attends depuis six mois votre réponse en vain 
 116
IVLa femme qui m’aimait ! Où donc est-elle maintenant ? 
 117
VMais, si pour reposer tranquille 
 120
VITu dois avoir gagné ta croix, je le sais bien 
 122
VIIMais d’ici là, mon Dieu ! D’ici que ce jour vienne 
 124
VIIIÔ toi ! qui n’a pas eu pourtant de lit de mort 
 126
IXL’horloge 
 128
XJ’ai revu l’hôpital 
 133
XIToussaint 
 136
XIIL’anniversaire 
 138

VERS LE RÊVE

IPour qu’elle puisse s’envoler 
 145
IIPour t’attendre plus sûrement 
 147
IIIPuisque te voilà de retour 
 149
IVElle aurait su trouver la rue 
 151

FLORISE

ILe long de la grand’route où je me suis perdu 
 157
IIQuand vous promènerez mon enfant au jardin 
 159
IIIQue voulez-vous ? on dit toujours à ces enfants 
 161

POÈMES À MA MÈRE

ILa confession de l’âme 
 165
IIÀ l’intérieur d’une année 
 169
IIIEn route pour la vie 
 175


À MA MÈRE,


Mon âme est ton œuvre et ta chose,
C’est le fruit de tes vergers verts,
Puisses tu retrouver en vers
Ce que tu m’as appris en prose.