Page:Londres - L’Homme qui s’évada, 1928.djvu/129

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passé la barre sans nous en apercevoir. » Nous hissons la voile. Le Calabrais s’approche de Strong et l’embrasse. Sur le visage, la joie chasse le bagne, et tous à la fois, comme des fous ou des imbéciles, nous nous mettons à hurler en plein océan : « Vive la Belle, la Belle des Belles, la Plus Belle des Plus Belles ! »