Mesurez un peu vos discours, mon ami ; il y a ici un démon.
Pauvre jeune homme ! dans quels filets il est tombé !… Il lui a donné un chat, et elle se conduit en vrai matou[1].
Je ne joue plus.
Qui a gagné, pour que je lui fasse mon compliment ?
C’est moi, ma belle ; votre maison m’a porté bonheur. (À Célia.) Voici l’étrenne, ma charmante.
Grand merci, seigneur cavalier.
Avez-vous ici de quoi manger ?
Nous le trouverons bien.
Holà, valets !
Ils sont là tous les deux.
Que Cosmillo et Peralta aillent nous chercher quatre chapons, six perdrix et trois lièvres.
Et du vin ?
Quatre outres[2].
Et du fruit ?
Des poires et des melons.
Vous avez entendu ? Allez.
Vous ne connaissez pas, mes amis, l’appartement de Phénice ?
À en juger par cette pièce, il doit être curieux.
Venez, que je vous montre son salon et sa chambre à coucher.