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Page:Lorin - L'air et la vitesse, 1919.djvu/44

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L'Air et la Vitesse


pare à ceux que donnent tous les autres réservoirs d’énergie.

Raisonnablement, l’homme ne peut pas espérer beaucoup mieux — tout au plus, diminuer encore un peu la densité du combustible.

Dès maintenant, il est bien outillé pour dépenser les torrents d’énergie qu’exige la propulsion à grande vitesse.