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LXXVII
Altéré par la chaleur, comme j’embrassais « un enfant à la peau douce, * je dis ceci, quand ma soif aride s’en fut allée :
« Dzeus Patêr, est-ce le baiser du nectaréen Ganymédès * que tu bois, et est-ce cela qu’à tes lèvres il verse ? »
Car moi » aussi, ayant embrassé ce beau jeune homme entre tous, * Antiokhos, j’ai bu jusqu’au bout le doux miel de Psykhè.