CONCLUSIONS BRÈVES de quelques thèses dont j’ai la preuve, — parmi tant d’autres — et que pourraient soutenir, par milliers, mes notes inédites, si elles me survivaient.
Le grec. — « L’artifice nouveau » de Daurat était l’enseignement du grec par le latin. Preuve par le Nicandre couvert de notes. Livre à jamais précieux par la note marginale et exceptionnellement française sur la phalène. Ronsard et son ami Belleau lurent cette page ensemble.
Le Nicandre nous a été conservé par Renouard (Catal. 1818).
Sa maladie. — Toute sa vie, Ronsard fut malade. De quoi ?
Malade d’un remède et non d’une maladie. Intoxiqué.
Lanelouzy a lu mes notes, les a trouvées toutes convergentes et m’a presque sommé de les publier, en me disant qu’il confirmerait mon diagnostic. Il était alors doyen de la société médico-historique.