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Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 10.djvu/7

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homme qui a écrit ci-dessus avec un sourire charmant :

« Dieu les y veille continuer. Amen. »


LA FAUSSE INTERPRÉTATION

M. Pottier ne se contenta pas de publier l’énigme : il essaya, naturellement, de l’expliquer. Il n’y réussit point.


Pour moi, dit-il, j’y ai perdu mon gaulois. J’avais pourtant cru entrevoir une issue à ce dédale cryptonymique ; mais mon fil, peu solide d’ailleurs, s’est rompu au quatrième vers et le reste subsiste impénétrable pour moi.


Après cet aveu, il se hasarda néanmoins à communiquer son hypothèse. Comme celle-ci est aujourd’hui reconnue erronée, nous ne la reproduirions pas si elle n’avait pas eu la singulière fortune d’être adoptée pendant soixante-dix ans, par la majorité des romanistes. Désavouée par son auteur, l’explication fut applaudie et reprise successivement par MM. Leroux de Lincy, Pierre Jannet, Gaston Pâris, G. Raynaud, Ludwig Stem, Gossart, Jeanroy, Lanson… La voici.

En examinant le premier quatrain de la charade, M. Pottier avait ingénieusement observé que les trois mots à « décapiter » (labelle, samere et lese-