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qui la dénouerait, avec quelques-unes de ces douces paroles que tu crains autour de toi. Celles-là aussi seront-elles perfides ?
melitta
Je ne les ai jamais entendues…
arcas
Mais tu entends les miennes, et tu vois mes yeux…
melitta
Je ne veux plus les voir…
arcas
Tu les vois dans ton songe.
melitta
Ô chevrier !…
arcas
Quand je te prends la main, pourquoi frissonnes-tu ? Quand mon bras se referme autour de ta poitrine, pourquoi t’inclines-tu ? Pourquoi ta faible tête cherche-t-elle mon épaule ?…
melitta
Ô Chevrier !