reuse, et, comme les petites filles aiment tout ce qui est sale, c’est à elles que j’accorde, quand elles sont sages, le droit de m’enfoncer la langue dans le derrière. À la langue de ma favorite je donne mon vrai con et chaque soir nous doutons s’il m’est plus agréable de jouir pour elle ou si entre mes cuisses elle a plus de plaisir à savourer le foutre qu’elle tire de moi.
— Ne parle plus !
— Qu’y a-t-il de plus doux aux lèvres d’une pucelle, que de boire du foutre ? Par curiosité j’ai voulu boire ceux de toutes mes sœurs cadettes le soir même de leur puberté. Sitôt que l’une d’elles, tout émue, venait me dire : « Prima, je décharge ! » aussitôt je lui donnais ma bouche. Et cette nuit, avec toi, j’ai bu du foutre d’homme. Pourquoi me dis-tu que je suis réservée ? J’ai envie d’en boire encore et j’ai envie d’en donner.
— Prima !
— Pourquoi dis-tu que je me refuse ? Je vais te révéler tous mes secrets, après avoir dit tous mes goûts. Je n’ai rien à te cacher. Regarde. »
Et comme si elle eût fait le geste le plus simple du monde, elle enjamba tête bêche le visage du roi, ouvrant à la fois ses fesses velues et sa vulve rasée de frais. Puis sans attendre ce qu’elle était sûre d’obtenir, elle fit du bout de la langue diverses arabesques autour de l’organe viril.
Le roi, depuis longtemps, n’avait favorisé personne de la caresse que les jeunes filles se font entre elles et il n’y était point naturellement porté ; mais, se trouvant “hors de sens” comme il l’avait dit, il ne sut ce qu’il faisait. Il le fit pourtant.
Cambrée en sursaut, Prima parut frémir de tout son corps. Elle qui ne murmurait pas un mot quand ses sœurs lui ren-