— C’est dégoûtant ! Tu la mets dans la bouche qui… Enfin, taisons-nous !… quand j’ai là un petit cul de pucelle…
— Plus chaste que ta bouche ? Tu peux le dire ! et pourtant, Dieu sait ce qu’il a fait, ton petit cul de pucelle ! Retourne-toi, tu auras ce que je t’ai promis ; mais nous en parlerons ensuite de ton petit cul ! »
Prima, tint de la langue, sa promesse, qui mit la petite fille au comble de la béatitude. Quand ce fut fini :
« Ne bouge pas ! dit-elle. En soixante-neuf tu es très gentille. Tu nous montres…
— Mes deux trous du cul, comme tu dis.
— Ne bouge pas !
— Est-ce qu’on les photographie ? »
Sans répondre, Prima dit à l’oreille du roi :
« Chloris n’a pas voulu t’apprendre comment elle nous a préparées… à ce que tu sais. Ne la blâme pas. Elle a pris le moyen le plus simple. Elle nous a enculées elle-même avec un godmiché qu’elle gardait toujours avec elle parce qu’elle avait peur que nous ne nous en servions par devant. Nous y avions pris goût. Tertia même en était si enragée qu’elle s’en est fait un avec une peau de gant. Mais parmi les petites, Puella seule a voulu être enculée.
— Par qui ?
— Par moi. Sous les yeux de Chloris. Le godmiché est là dans la boîte. Tu vas voir si la petite s’y prête. »
Le roi proposa tout le contraire et s’accoudant sur l’oreiller il répondit :
« Pourquoi ne te rendrait-elle pas ce que tu lui as fait ?