Page:Louis - Recherches sur les effets de la saignée, 1835.djvu/35

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sixième et septième jours de l’affection ; à une exception près, relative à un sujet dont la convalescence eut lieu au vingt-deuxième jour, et qui ne fut pas saigné avant le quatorzième. Et la pneumonie dura, terme moyen, dans l’ordre indiqué, quatorze, dix-huit, quatorze, quinze, dix-neuf, dix-huit et vingt-deux jours, ainsi que le tableau suivant l’indique.

2 3 4 5 6 7 14[1]
15 2 38 11 2 30 14 2 32 09 1 15 25 1 20 11 2 54 22 1 16
16 3 47 27 2 30 19 2 24 28 2 30 21 1 20 19 2 37
11 3 50 28 2 25 14 2 27 11 1 20 12 2 30 18 2 36
09 1 18 12 2 35 24 2 12
13 2 30 21 2 30
15 2 24
14 45 18 25 14½ 30 15⅓ 22 19⅓ 23 18⅗ 30 22 16

C’est-à-dire qu’au premier abord il semblerait assez indifférent que les malades atteints de pneumonie, soient saignés, pour la première

  1. Les chiffres placés au-dessus du tableau indiquent le jour où la première saignée a été faite : ceux de chaque colonne, de gauche à droite, le nombre de jours qu’a duré la maladie, le nombre de saignées faites, la quantité de sang tiré. Enfin, les chiffres soulignés indiquent que les malades auxquels ils appartiennent, ont pris du tartre stibié à haute dose.