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Page:Louis Bethléem - La littérature ennemie de la famille, Librairie Bloud & Gay, 1923.djvu/126

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ce que c’est qu’un homme qui était chargé de dire la vérité, et dont la parole meurt dans le découragement… »

Tous les chefs de famille ne méritent pas ces objurgations. Qui oserait cependant prétendre, parmi nous, qu’il a accompli tout son devoir envers la littérature amie de la famille ?

Si j’en crois mes renseignements et certains faits connus de tous, cette situation antinomique et préjudiciable touche à sa fin. Vous vous résoudrez à rendre justice à vos amis des lettres, à ces parents pauvres qui veulent le rester — et parents et pauvres — pour mieux servir.

Les moyens pratiques d’y pourvoir ? Je n’ai pas le temps de les examiner ici.