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Page:Louis Bethléem - La littérature ennemie de la famille, Librairie Bloud & Gay, 1923.djvu/127

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III

Un dernier mot


Pour finir, permettez-moi de répondre, par quelques mots, à une dernière préoccupation qui, je le sens, se glisse, confusément du moins dans les esprits de mes lecteurs.

Il existe d’une part, une littérature ennemie ; et d’autre part, une littérature amie. Comment s’y reconnaître ?

Il faudrait, semble-t-il, une œuvre, une revue, un journal, un organisme ou un organe quelconque, qui fût un guide et qui en raison de sa fonction, mettrait au premier rang de ses préoccupations la famille, le respect de la famille, la famille et son excellence, la famille et ses devoirs, la famille et ses droits ; un guide qui serait d’abord consciencieux, et qui, sans prétendre au magistère absolu et à l’infaillibilité mériterait par sa bonne volonté et sa loyauté, la confiance des familles.