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mille : l’œuvre romanesque de Victor Margueritte ; l’œuvre dramatique de Georges de Porto-Riche, de l’Académie française 
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3. — Ces œuvres dévastatrices se répandent de plus en plus dans tous les milieux, et y portent leurs fruits. Elles dissolvent et ruinent la famille : car elles y introduisent les désordres dûs à l’amour souverain ; elles favorisent la stérilité volontaire, l’union libre et l’adultère ; elles corrompent les jeunes gens et les jeunes filles ; elles discréditent la femme reine du foyer au profit de la femme de mauvaise vie. 
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II. — Les Quotidiens.
Un mot sur les suppléments de L’Illustration. — La plupart des quotidiens : 1° glorifient et recommandent les romans et les pièces de théâtre nuisibles à la famille ; 2° mettent leur puissance énorme au service de la propagande des faits-divers criminels et passionnels, dont la lecture va à ruiner les vertus familiales. 
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III. — Les illustrés pornographiques.
Par leur diffusion considérable, par la faveur qu’elles rencontrent, ces publications honteuses font un mal dont il est impossible de juger la gravité. 
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IV. — Les illustrés pour enfants.
Ces illustrés très répandus, constituent une entreprise de contre-éducation qui, accaparée par une maison trop connue, devient un danger national. 
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