Page:Louis d Elmont Hallucinations amoureuses 1924.djvu/51

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
— 49 —

— Je comprends ta peine. Mais que veux-tu ? Ça ne pouvait pas être éternel.

— Pourquoi ?… Je le croyais, moi…


Chère amie ! lui dit-elle (page 59).

« J’espérais même que tu m’épouserais un jour. Après tout, n’étais-je pas pour toi un aussi bon parti que cette petite fille d’un modeste employé…

— Je t’ai aimée beaucoup… Léontine,

— Mais maintenant c’est l’autre que tu aimes.

— Écoute. Je suis venu, mais n’en augure pas que je faiblisse un moment !… J’ai simplement voulu te convaincre que tu devais t’incliner devant le fait accompli.

— Et si je ne m’incline pas…

— C’est de la folie !… Que feras-tu ?…