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— Je comprends ta peine. Mais que veux-tu ? Ça ne pouvait pas être éternel.
— Pourquoi ?… Je le croyais, moi…
Chère amie ! lui dit-elle (page 59).
« J’espérais même que tu m’épouserais un jour. Après tout, n’étais-je pas pour toi un aussi bon parti que cette petite fille d’un modeste employé…
— Je t’ai aimée beaucoup… Léontine,
— Mais maintenant c’est l’autre que tu aimes.
— Écoute. Je suis venu, mais n’en augure pas que je faiblisse un moment !… J’ai simplement voulu te convaincre que tu devais t’incliner devant le fait accompli.
— Et si je ne m’incline pas…
— C’est de la folie !… Que feras-tu ?…