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qu’il n’avait pas entendu le léger pas de Mademoiselle Yolande. Pourtant, quand Mademoiselle Yolande, qui devenait décidément très-courageuse lorsqu’elle savait avoir affaire avec des gens véritables, s’approcha de lui pour le saluer, il releva brusquement la tête, et, du ton rogue et brusque d’un homme fort contrarié d’être dérangé dans des calculs absorbants, il s’écria :

— Qui va là ?