Page:Lucien Fabre - Rabevel ou le mal des ardents Tome III (1923, NRF).djvu/182

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
182
LE MAL DES ARDENTS

ment divers. Il vit, tout à coup, très distinctement, un homme apparaître qui étendit le bras et fit feu ; une forme tomba : « Pourvu que ce ne soit pas Isabelle ! » dit-il tout de suite, instinctivement. Hélas ! quand serait-il fixé ! Il eut conscience de son impuissance. Le navire en plein élan bondissait sur une mer fougueuse. C’était par un triste tour d’équinoxe gros de tous les orages de l’univers.