Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/282

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208 PINDARE. âge et les jeunes filles, malgré la diversité des esprits et- des goûts, lui rendront hommage et prendront part à sa ` gloire. N Celui qui, emporté par des desirs impétueux, possède enlin l’objet qui les lit naitre, doit suivre en paix la car- . rièrq du bonheur , ouverte devant ses pas, sans interroger · l’avenir; car iln’est point de signes qui puissent nous faire connaitre les événements que produira même une seule année. * ‘ Cet hymne est le gage de mon amitié pour Thorax. Il mu l'n alvmandii comme hôte et comme ami. (Tes! lui qui Il alululù qnnlru uuursinrs au char des Piérides, et qui a exë uuu num ardu ur à les conduire, pour faire voler au loin lai ‘ giniru I`l'lll[I}l('lC]l;Ei. ' " t ` Uuiiums I`nr brille sur la pierre de touche qui Vinterroge, ainsi le hun n-spril. montre par lïexpérience. Puis-je donc refuser mus louanges aux généreuxifreres de Thoràx? lls élèvent jusqu‘nu rinl la splendeur de la Thessalie, et, hérià ticrs des vertus de leurs ancêtres, ils gouvernent ses cités avec gloire. b · " ` QNZIEME PYTHIQUE. ` voeu runasvnnn ', un rnnizns, ILINUKI', VAINQUEUR A LA COURSE. Filles du Czulmus, Sémélé, qui habitez l’0Iy;npe avec les immortels, ct vous Ino-Leucotbée, compagne des Néréi· iles, allez avec la mère illustre du grand Hercule auprès du Mèlin ", dans ce sanctuaire rempli de trépieds d‘or, qu'ApolIon honore il'une faveur particulière, et ou il a éta- ' Thrasydee, de Thèbes, vninquil. à la course , la vingt-huitième pytlsiade. ' Ilélia, nymphe, lille de l’0céa¤.