Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/599

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lX'I'I\AI'l’8» lili abeilles légères, voltigeant autour de ses lèvres entr’ou-·· vertes, venaient y déposer les doux rayons de leur miel. crxxxn. sun uu moua mvnonm. De Slalylllus Flacons. Tu dors, lalssantaux mortels les soucis toujours éveil- lés; tu dors, ô fils de Vénus née de l’écume de la mer l tu ne portes plus ta torche enflammée; tu ne poses plus sur ton arc ta tlèche qu’on ne peut éviter; mais que d’autres osent s’approcher de toi; moi, je te crains même endor- mi; je erains que tu n’aies le sommeil mauvais. ’ cmlxxiu. sua ms voaras. D’A¤lipaler. ` La rosée suffit pour enivrer les cigales; dès qu’elles en - ont bu, elles sont plus hardies à chanter que les cygnes eux-mêmes. C'est ainsi que le poete , pour les bienfaits qu’il a reçus, fussent-ils bien peu de chose, sait rendre des chants éternels. caxxxiv. sua Usnoun. De Phlllpps. Vois comme les Amours, dépouillant le ciel, se sont on nés de toutes les armes des immortels. Ils portent l’arc « d’Apollon, la foudre de Jupiter, les armes et le casque de n Mars, la massue d’Hercule , le trident du dieu marin, le thyrse de Bacchus, les ailes rapides de Mercure, et la tor- che d’Artémise. Que les hommes donc ne soient pas hon- teux de tomber sous les flèches des Amours , puisque les dieux eux—mêmes leur ont cédé le droit de s’orner de l leurs armes. . caxxxv. sun um: sruua nu msn un sousur sa LA saura. - De Platon. Que le promontoire couvert de chênes. que les fontai-