Ce serait le commencement de faire ses affaires soi-même.
La seconde partie de cette lettre, seulement, a trait à la fondation du bouillon des proscrits, qu’avec rien nous espérions fonder ; les conférences et le dévouement de ceux qui travaillent aidant pour ceux qui ne travaillent pas.
De ceux qui y auraient trouvé la miette qui parfois sauve une existence, quelques-uns eussent aidé parfois.
Quant au livre de comptes il eût été toujours ouvert.
Encore ne faut-il pas passer pour des exploiteurs quand on met son temps et le peu qu’on peut gagner.
Cette idée d’exploitation, un tas d’imbéciles dont les scies : que j’avais chevaux et voitures ! que je possédais des rentes, etc., etc., me l’ont fait subir pendant les trois ans que j’ai passés en liberté après le retour.
Ma pauvre mère en a souvent pleuré, la bonne et simple femme. Quand des lettres d’insulte succédaient à des demandes de trois ou quatre cents francs et même de plusieurs milliers de