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considérable, mais d’ailleurs, que l’une des nombreuses cellules dont la chambre acoustique est de toutes parts environnée. Par conséquent enfin, l’occipital supérieur, comme on l’avait autrefois compris et nommé, ne serait au fond qu’une pièce complexe formée des os distincts suivants : 1^o de l’inter-pariétal dans le centre ; 2^o des deux rupéaux posés sur les flancs de la voûte de l’encéphale ; et 3^o du véritable sur-occipital en arrière^[1].

↑ Je ne puis me dispenser de jeter un coup-d’œil en arrière, et de dire quelque chose de mes anciennes déterminations.

En 1807, Ann. du Mus. d’Hist. nat., t. X, p. 262, je m’exprimai ainsi : « Les quatre occipitaux sont les quatre pièces qui fournissent un de leurs bords au trou par où passe la moelle allongée : il n’y a, il ne peut y avoir de difficulté à leur égard. En haut est l’occipital supérieur, sur les flancs les deux occipitaux latéraux, et tout en bas l’occipital inférieur. L’occipital supérieur est d’une forme très-singulière. Il est renflé et caverneux : les deux lames dont il est composé sont soutenues en dedans par des piliers osseux différents suivant les espèces. Ce que cette pièce présente surtout de remarquable, c’est la communication établie de son intérieur avec les deux conduits auditifs de l’os carré (nommé présentement enostéal); en sorte que les deux chambres de l’oreille ne forment qu’une seule et longue galerie, etc. »

En 1824, Annales des sciences naturelles, cahier d’octobre, je considère les fonctions auditives de l’occipital supérieur, et je le considère et détermine comme un seul rocher pour le haut du crâne.

Et enfin, en 1827, même ouvrage, cahier de novembre, je reviens sur cette détermination. « Toute la pièce centrale de l’arrière-crâne me parut donner des répétitions si exactement suivies avec toutes mes autres comparaisons, que je ne puis supposer le problème cherché insoluble. Or, cette solution, continuais-je, s’est trouvée dans la circonstance à peine aperçue que la pièce d’arrière-crâne, l’occipital supérieur, est composée de trois, si même ce n’est de quatre éléments primitifs, de trois du moins

[t12p244-1] Je ne puis me dispenser de jeter un coup-d’œil en arrière, et de dire quelque chose de mes anciennes déterminations.

En 1807, Ann. du Mus. d’Hist. nat., t. X, p. 262, je m’exprimai ainsi : « Les quatre occipitaux sont les quatre pièces qui fournissent un de leurs bords au trou par où passe la moelle allongée : il n’y a, il ne peut y avoir de difficulté à leur égard. En haut est l’occipital supérieur, sur les flancs les deux occipitaux latéraux, et tout en bas l’occipital inférieur. L’occipital supérieur est d’une forme très-singulière. Il est renflé et caverneux : les deux lames dont il est composé sont soutenues en dedans par des piliers osseux différents suivant les espèces. Ce que cette pièce présente surtout de remarquable, c’est la communication établie de son intérieur avec les deux conduits auditifs de l’os carré (nommé présentement enostéal); en sorte que les deux chambres de l’oreille ne forment qu’une seule et longue galerie, etc. »

En 1824, Annales des sciences naturelles, cahier d’octobre, je considère les fonctions auditives de l’occipital supérieur, et je le considère et détermine comme un seul rocher pour le haut du crâne.

Et enfin, en 1827, même ouvrage, cahier de novembre, je reviens sur cette détermination. « Toute la pièce centrale de l’arrière-crâne me parut donner des répétitions si exactement suivies avec toutes mes autres comparaisons, que je ne puis supposer le problème cherché insoluble. Or, cette solution, continuais-je, s’est trouvée dans la circonstance à peine aperçue que la pièce d’arrière-crâne, l’occipital supérieur, est composée de trois, si même ce n’est de quatre éléments primitifs, de trois du moins

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