appuyer les conclusions précédentes.
Cependant une objection ne manquera pas d’être produite contre ces résultats : car on voudra contester l’indépendance des quatre pièces qui, dans notre manière de les considérer,
avec certitude, savoir : de deux sphères osseuses contiguës, ouvertes transversalement de part en part, et qui sont pour le haut deux rupéaux ; puis d’une plaque triangulaire extérieure à ces rochers, les couvrant, les emboîtant et formant en dehors l’occipital supérieur, et je viens de parler avec doute d’un quatrième élément : et, en effet, du milieu de la large base du triangle s’élève une apophyse, dont le sommet atteint le plancher supérieur du crâne : cette apophyse s’encastre dans un vide correspondant du pariétal. Or, la position de celle-ci, ses connexions et ses usages, quant à la portion musculaire qui s’y insère, donnent à penser que c’est un inter-pariétal dans l’état d’atrophie. »
J’ai fini mon article de 1827 par une dernière réflexion qu’il n’est pas hors de propos de rappeler : la voici.
« Entre 1807 et la présente année 1827, il s’est écoulé un espace de vingt années. Aurais-je marché trop lentement ? Je ne le crois pas. Je n’ai cessé de porter sur le problème toute l’activité de mon esprit. Aux difficultés qui renaissaient presque d’année en année, j’ai opposé de la persévérance. Cependant si j’ai réussi dans cette dernière rectification et que celle-ci soit en effet la dernière, on pourra dire de cette question qu’elle était sans doute très-compliquée, mais que cependant elle réservait un prix à de constants efforts. Je m’y plais, comme à un service rendu. »
Je m’éloigne donc fort peu aujourd’hui de la détermination de 1827. Toutefois, au sujet de l’inter-pariétal, ma pensée est plus ferme ; puis-