sur un point des arcades maxillaires, elles. ne contractent avec celles-ci aucune relation essentielle ; elles sont enveloppées ou supportées par les lames maxillaires, mais ne s’y creusent point un gîte, en perçant et en pénétrant dans le corps de l’os, comme on l’a dit ; tout au contraire, ces intercalations ont toujours lieu d’après des motifs de voisinage, et nullement par une prédilection marquée pour un os spécifié.
Ainsi tombe cette fausse théorie, où la qualité de l’intermaxillaire qualifie les dents qui y sont implantées, et par laquelle les dents à leur tour sont un moyen de détermination pour les os, dont elles pénètrent la substance.
Mais, dira-t-on, c’est par cela arriver à la perte d’un moyen de détermination qui dispensait d’une décision arbitraire. Oui, nous sommes en effet privés du dangereux appui d’une erreur.
Mais si nous avons été chercher le principe de la distinction des dents où il n’était pas, en revanche le champ des recherches nous est ouvert. Car apercevant les dents assujetties à un ordre d’arrangement, en les voyant reproduire dans chaque famille des combinaisons de plusieurs sortes, l’on doit espérer de connaître la cause de ces répétitions constantes et régulières ; et en effet nos études sur la matière se sont aujourd’hui multipliées de façon à ce que nous dussions présumer favorablement du moindre effort pour savoir ce qui en est. Or, je prie qu’on veuille bien se rendre attentif à ce qui suit.
C’est un principe dans de difficiles déterminations, d’aller interroger les faits d’organisation alors qu’ils sont portés au maximum de leur développement. L’ampleur du cerveau et de la boîte cérébrale chez l’homme soumet une autre partie de la tête à ressentir la réaction d’une compensation : la face est sacrifiée et réellement extrêmement courte ; de la brièveté
