pre de chacune de ces parties. D’autre part, le phénomène total de la rumination se compose de plusieurs phénomènes partiels ; il s’agit de savoir quel est le mécanisme particulier de chacun de ces phénomènes. En d’autres termes, et en faisant abstraction de la mastication, fonction d’un genre tout-à-fait distinct, qui fait partie de la rumination, mais qui ne se lie pas essentiellement à son mécanisme, c’est-à-dire au jeu même des estomacs : il y a une première déglutition, il s’agit de savoir quels sont les estomacs où vont les aliments, lors de cette première déglutition ; il y a une réjection des aliments, il s’agit de savoir quelles sont les parties qui déterminent cette réjection ; enfin, il y a une seconde déglutition, il s’agit de savoir quels sont les estomacs où vont les aliments, lors de cette seconde déglutition.
4. La théorie du mécanisme de la rumination comprend donc trois questions la première, quels sont les estomacs où vont les aliments lors de leur première déglutition ? la seconde, quelles sont les parties qui déterminent leur réjection et la troisième, quels sont les estomacs où ils vont lors de leur seconde déglutition et, comme l’une et l’autre déglutition des aliments sont des phénomènes du même genre, tandis que leur réjection constitue un phénomène d’un genre tout différent, je traiterai du mécanisme des deux déglutitions à la suite l’une de l’autre, et je ne traiterai qu’après, et à part, du mécanisme de la réjection.
