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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 3.djvu/404

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Si aucun des deux coëfficients et n’est égal à zéro, on pourra déterminer et en faisant et et alors l’équation que nous considérons sera réduite à la forme

(13)

Si, au contraire, l’un de ces coëfficients est nul ; qu’on ait, par exemple, on ne pourra plus poser l’équation mais on pourra toujours déterminer et en faisant et ce qui réduira l’équation proposée à cette autre forme :

Ainsi, l’équation générale du second ordre peut toujours être ramenée à l’une ou l’autre de ces deux formes particulières : nous avons intégré précédemment la dernière équation ; il ne nous reste donc plus qu’à considérer l’équation (13), dans laquelle et sont des coefficients constants qui peuvent être positifs ou négatifs.

(20) Pour exprimer commodément son intégrale en série ordonnée, suivant les puissances de nous ferons usage de cette notation abrégée : étant une fonction quelconque de nous poserons

et nous désignerons par etc., ce que devient lorsqu’on y remplace par etc.; en sorte qu’on ait généralement