que dans la suite
il y ait encore un ou plusieurs termes qui appartiennent à la suite mais il faut de plus que les termes des suites et communs avec soient placés au même rang c’est-à-dire que le terme de la suite et le terme correspondant de la suite soient compris l’un et l’autre dans la suite des résidus ème. Si cette double condition n’est pas remplie on en conclura que n’est point diviseur de
33. Supposons 2o que est diviseur de on trouvera semblablement
que dans les deux suites
il devra se trouver deux termes correspondans qui soient compris l’un et l’autre dans la suite
Mais cette épreuve ne sera nécessaire que lorsque sera
de la forme car on sait a priori (art. 10) que si le
nombre premier est simplement de la forme dans
laquelle n’est point divisible par ce nombre ne peut être
diviseur de
Au moyen de ces deux épreuves on décidera aisément
dans chaque cas particulier, si peut-être diviseur de ou de
s’il ne divise ni l’un ni l’autre, on sera assuré qu’il doit
être diviseur de
34. Soit par exemple nous aurons à examiner suc-